Rénovation de la voie ferrée Landerneau-Quimper. Christophe Winckler regrette la marche arrière de la Région.

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Par , 7 octobre 2014 9 h 10 min

Membre du groupe Europe Écologie les Verts de Landerneau-Daoulas, Christophe Winckler regrette la marche arrière de la Région, pour cause de dépassement budgétaire, sur le projet de modernisation de la voie ferrée entre Quimper et Landerneau : « On s’est fait rouler dans la farine. Pourtant, cette rénovation prend aujourd’hui un caractère d’urgence. En doublant la voie sur une partie du tronçon, comme cela avait été promis, il sera possible de passer d’un potentiel de six trajets par jour à une offre de l’ordre de 20 trajets par jour, tout en réduisant leurs durées. C’est l’accès à tout le sud de la Bretagne qui devient vraiment possible ».

Rouvrir l’arrêt du Bot

Pour ces raisons, le groupe EELV de Landerneau-Daoulas « dénonce la décision de la Région et lui demande de respecter ses engagements en poursuivant le programme de travaux ». Christophe Winckler se tourne également vers la communauté de communes, où il a siégé comme élu jusqu’en mars dernier : « Elle pourrait se saisir de ce dossier et faire pression sur la Région. Elle peut aussi se mobiliser pour la réouverture de la gare du Bot (Daoulas-Irvillac). Cela intéressera les nombreuses personnes qui, depuis le sud de la communauté, font le trajet quotidiennement, par la route, jusqu’à Landerneau ou Brest ».

© Le Télégramme

Centrale électrique à gaz de Landivisiau. Les élu(e)s eelv témoignent.

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Par , 2 octobre 2014 13 h 35 min

Voir l’émission sur tébéo

Centrale de Landivisiau. Un projet néfaste pour la qualité de l’air.

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Par , 24 septembre 2014 12 h 17 min

L’association S-eau-S a a rencontré les commissaires enquêteurs en charge du dossier soumis à enquête publique concernant le projet de centrale électrique à gaz de Landivisiau. Nous avons rappelé notre hostilité à ce projet inutile, coûteux et nocif pour l’environnement. Comment comprendre qu’au moment même où le président de la république déclare à New-York, au sommet sur le climat, que le dérèglement climatique menace “la paix et la sécurité du monde“, le Gouvernement français et les élu(e)s majoritaires de la Région Bretagne persévèrent dans leur projet d’implanter une centrale électrique à gaz, source d’émission de gaz à effet de serre, à Landivisiau.

Une étude d’impact qui masque de graves pollutions.

Dans le mémoire remis à la présidente de le commission d’enquête, l’association S-eau-S relève de graves manques dans l’étude d’impact concernant la qualité de l’air et en particulier sur la pollution par les particules fines dont l’association Air Breizh chargée des mesures déclare par ailleurs qu’elles”peuvent provoquer une atteinte fonctionnelle respiratoire, le déclenchement de crises d’asthme et la hausse du nombre de décès pour cause cardio-vasculaire ou respiratoire, notamment chez les sujets sensibles (bronchitiques chroniques, asthmatiques…)” et dont la Commission de la science et de la technologie du parlement européen constate qu’elles “constituent une cause de mortalité chez les enfants en bas âge.

L’association S-eau-S a pu constater qu’un seul site a été choisi pour la mesure de ces particules fines et que celui-ci est éloigné du site prévu pour l’implantation de la centrale, émettrice potentielle de ces particules, et de la RN12 où la circulation automobile est déjà la source majeure de cette pollution.

Plus grave : la campagne de mesure n’a été réalisée que pendant deux mois (23mai/20juin et 24 octobre/21 novembre). Ces deux mois étant ceux où la pollution est avérée la plus faible et ceci de façon régulière depuis que des mesures sont réalisées en Bretagne. En effet ont été soigneusement évités les mois de janvier, février et mars pendant lesquels Air Breizh a constaté en 2012 “plusieurs épisodes de pollution aux PM10 (particules fines) sur l’ensemble de la Bretagne, entraînant des dépassements du seuil de recommandation et d’information du public” (28 dépassements dans le Finistère). Ces mois, volontairement exclus des mesures, coïncident, comme le note Air Breizh, avec les épisodes de grand froid qui seraient donc ceux où la centrale, supposée répondre aux “besoins de pointe”, fonctionnerait à plein régime ajoutant ainsi à la pollution déjà existante.

Cependant, malgré ce défaut de mesures Air Breizh constate déjà que les concentrations en particules fines (PM10 et PM2.5) relevées “sont du même ordre de grandeur que les niveaux observés sur les stations urbaines”. Constater le même niveau de pollution actuellement à Landivisiau, 9000 habitants, qu’à Brest, 140 000 habitants, laisse anticiper ce qu’il en serait si la centrale était construite à proximité de la ville !

C’est pourquoi l’association S-eau-S a demandé à la commission d’enquête “qu’un avis négatif soit donné à la construction de cette centrale vu les résultats des mesures de la qualité de l’air qui, bien que limitées dans le temps, indiquent déjà une pollution grave, en particulier par les particules fines PM10 et PM2.5, sur le secteur de Landivisiau“.

communiqué remis à la presse.

Voir en complément : Centrale électrique à gaz de Landivisiau. Mémoire déposé par S-eau-S.

Rien ne peut justifier la destruction du centre des Impôts et de la M.S.A. de Morlaix. Les responsables doivent être poursuivis !

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Par , 20 septembre 2014 21 h 21 min

Communiqué de presse Europe Ecologie Bretagne Samedi 20 septembre 2014

Au lendemain de la condamnation des 11 bonnets rouges, des leaders agricoles finistériens ont encore frappé; cette fois ils ont détruit par le feu, le centre des Impôts et la M.S.A. de Morlaix; un acte de vandalisme dont la crise légumière actuelle ne peut justifier de tels comportements.
En effet, plus d’un demi- siècle après la prise de la sous-Préfecture de Morlaix par Alexis Gourvennec, la fuite en avant est toujours de mise : après avoir éliminé quatre paysans sur cinq, ces “décideurs” continuent, avec le même discours à faire les mêmes dégâts sur le plan économique, social et environnemental, aux dépens d’un modèle agricole durable, local, respectueux des hommes et de l’environnement que EELV défend.

Aujourd’hui il est plus facile d’accuser l’Etat que de remettre en cause le système qui a montré son inefficacité.

Comment ces courageux anonymes peuvent-ils crier au secours alors qu’ils sont responsables des crises à répétition d’une part et responsables des outils économiques qu’ils ont eux-mêmes mis en place, d’autre part ?

Ces actes de vandalisme, orchestrés par des extrémistes n’ont pour objectif que de faire diversion face à un système qu’ils ne maîtrisent plus, au nom d’un pseudo marché mondial.

Le mouvement EELV, son groupe local du Pays de Morlaix et ses élus régionaux demandent que la lumière soit faite. Les donneurs d’ordres doivent payer.

René Louail, président du groupe des élu-e-s EELV au Conseil Régional de Bretagne

Yannick Bigouin et Janick Moriceau, élu-e-s EELV au Conseil régional de Bretagne

Michèle Le Tallec et Jean-Pierre Trillet, co-secrétaires régionaux EELV Bretagne

Le Groupe local EELV Pays de Morlaix

Centrale électrique à gaz de Landivisiau. Ce que nous cache l’étude d’impact.

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Par , 18 septembre 2014 14 h 57 min

Depuis le 15 septembre l’enquête au titre de la protection de l’environnement a débuté.

Nous avions déjà eu l’occasion d’étudier la demande d’autorisation d’exploiter soumise à l’autorité environnementale et les remarques de celle-ci. Cette étude s’est traduite de notre part par un mémoire soulignant les insuffisances dans l’étude d’impact sur la qualité de l’air que nous avons adressé à l’autorité environnementale et, sur les conseils de celle-ci, au préfet du Finistère et au président du Conseil Général du Finistère.


Voir la suite sur le site de S-eau-S.

Centrale à gaz de Landivisiau. Enquête publique, où et comment dire non.

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Par , 14 septembre 2014 17 h 00 min


Voir le tract

Voir le mémoire rédigé par S-eau-S sur l’insuffisance de l’étude d’impact concernant la qualité de l’air.

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